Ancien diocèse de Bâle
Première mention, contestée, d’un évêque à Kaiseraugst.
Pantale, évêque de Bâle selon la légende.
Mention isolée d'un évêque d'Augst et de Bâle (Ragnachaire).
(Re)fondation définitive du diocèse de Bâle.
Destruction de Bâle par les Hongrois, mort de l’évêque Rodolphe II.
Consécration de la nouvelle cathédrale, construite avec l’aide de l’empereur Henri II.
Fondation de Saint-Alban, premier couvent de la ville de Bâle.
Statuts synodaux de l’évêque Pierre d’Aspelt.
Ouverture du concile de Bâle.
Ouverture de l’Université de Bâle.
Réforme à Bâle. L’évêque se réfugie à Porrentruy (diocèse de Besançon jusqu’en 1782) et le chapitre cathédral à Fribourg en Brisgau.
Synode diocésain de Delémont, statuts synodaux (imprimés en 1583).
Fondation du collège des jésuites de Porrentruy.
Le chapitre cathédral quitte Fribourg en Brisgau et s’installe à Arlesheim.
Création du séminaire du diocèse de Bâle à Porrentruy.
Suppression de l’ordre des jésuites. Le collège de Porrentruy est directement administré par le prince.
Échange des paroisses avec le diocèse de Besançon. L’Ajoie et Porrentruy entrent enfin dans le diocèse de Bâle, qui cède des paroisses alsaciennes.
Ordonnance du prince-évêque sur les écoles élémentaires (vaut pour la partie catholique de sa principauté).
Révolution française. L’Assemblée constituante adopte la constitution civile du clergé, valable pour la Haute-Alsace (dépendante du diocèse) et condamnée par le pape.
Occupation du nord de la principauté épiscopale par la France, émigration des prêtres.
Concordat. Création du nouveau diocèse de Strasbourg incluant l’ancienne principauté de Bâle jusqu’à Bienne.
Le pape confie à l'évêque de Bâle de Neveu l'administration spirituelle du Jura catholique (retiré du diocèse de Strasbourg). À fin 1815, le diocèse englobe aussi les cantons de Soleure et de Bâle, et le Fricktal argovien.
Le Canton de Berne adhère au concordat diocésain; réorganisation du diocèse de Bâle.